Les difficultés du secteur du tatouage

J’ai interrogé, lors d’une commission économie au Parlement Wallon,le Ministre Borsus sur les difficultés rencontrés par le secteur du tatouage.

Le tatouage n’est plus un effet de mode, il est entré dans les mœurs. Cependant avec le coût du matériel en constante hausse et la perte de trésorerie suite à la crise sanitaire, le secteur se retrouve dans une situation extrêmement défavorable.

A tout cela s’ajoute la fuite des clients vers des tatoueurs pratiquant de manière illégale. Une pratique qui peut s’avérer dangereuse et problématique pour les citoyens (soucis de stérilisation, mauvais suivi, dessin raté…). L’activité légale se retrouve en danger.

Le ministre a commenté qu’il n’avait pas été contacté par des acteurs du secteur, ce à quoi j’ai promis de faire le lien entre les deux parties. Ce dernier a tout de même précisé que des dispositifs avaient été mis en place pour aider le secteur. Les tatoueurs, comme bien d’autres, sont éligibles aux soutiens financiers créés lors de la crise sanitaire. Les principaux concernés peuvent contacter le numéro dédié: 1890, organisé par la SOWALFIN, pour en savoir plus.